Le conseil de la culture au travail

6 novembre 2014

Fort de 21 membres et désormais installé, le conseil de la culture planche sur ses deux premiers sujets : le théâtre à Metz et l'harmonisation des agendas.

 

Le conseil de la culture a vécu sa première réunion, vendredi 31 octobre, dans le grand salon de l’hôtel de ville. Cette nouvelle instance a pour but d’accroître la participation des acteurs de la culture et des citoyens à la concertation sur la politique culturelle municipale. Il compte 21 membres, dont six proviennent des comités de quartier et de la société dite civile, des citoyens n’appartenant pas aux institutions ou aux associations culturelles également représentées en son sein. Au total, 84 candidatures ont été reçues.

 

Les 21 membres du conseil de la culture

 

Alexandre Agius (Pushing, association), Véronique Albert (Nunatak, spectacles vivants), Madame Balland-Poumarat (comité de quartier), Bernard Poucheix (société civile), Marie Bragard (galerie Raymond-Banas, arts visuels), Hugues Chavaroche (Zikamine, musique), Anne Delrez (C’était où, c’était quand ?, arts visuels), Dimitri Fayette (société civile), Xavier Grivel (Metz’a voce, musique), Hervé Mittelbronn (comité de quartier), Abdullah Ozden (Etud’Action, association), Johannes Petters (Les Heures paniques, spectacles vivants), Chantal Postal-Mosbahi (comité de quartier), Laurent Tardif (société civile), Charles Tordjman (Festival Passages, spectacles vivants), Jean-François Ramon (Metz en scènes, institution), Paul-Emile Fourny (Opéra-théâtre, institution), Christophe Billard (ONL, institution), André-Pierre Syren (Bibliothèques-médiathèques, institution), Nathalie Filser (Ecole supérieure d’art de Lorraine, institution), Emma Lavigne (Centre Pompidou-Metz, institution).

 

Les premiers sujets

 

D’ores et déjà, le conseil de la culture va se pencher sur deux premiers sujets. Tout d’abord, la place du théâtre à Metz : diagnostic sur les événements et les équipements existants, propositions pour amplifier la création et la diffusion). Ensuite, l’harmonisation des agendas culturels, pour une meilleure répartition des programmations culturelles.