L'écoquartier des Coteaux de la Seille
Construire la ville en bonne intelligence avec son environnement naturel et social
Sur un terrain de 32 ha compris entre la rue Georges Ducrocq et la rue de Peltre, jusqu’au parc du Pas du Loup, la Ville de Metz innove en créant un écoquartier qui pourra accueillir à jusqu’à 4000 habitants à l’horizon 2030. Ce nouveau lieu de vie sera doté de bâtiments à haute performance énergétique certifiés. Cet écoquartier offrira des logements adaptés à tous les profils : locataires, propriétaires, primo-accédants, retraités, ménages avec enfants ou personne seule. Au final, 20% de logements sociaux seront répartis dans l’écoquartier. Dès la première phase d’occupation, des équipements publics, des services (école, cabinets médicaux, etc.), des parcs et jardins, des commerces et lieux de rencontres verront le jour. Des dispositifs collectifs (auto-partage, vélo, jardins partagés) se développeront à terme.
Situé idéalement à proximité du quartier de l’Amphithéâtre, à une dizaine de minutes de la gare et à une quinzaine de minutes du centre-ville en vélo, l’écoquartier bénéficiera à l’avenir du passage d’une ligne METTIS de Transport en Commun en Site Propre. Organisation du bâti pour une optimisation de l'ensoleillement, organisation de continuités végétales et gestion des eaux de pluie, rendent l’écoquartier intelligent en matière d’environnement. Son emplacement propose un panorama splendide vers la Seille, le Mont Saint-Quentin, le Centre Pompidou-Metz ou encore la Cathédrale. Autant d’atouts qui feront de l’écoquartier des Coteaux de la Seille un cadre de vie exceptionnel.
Depuis l’été 2014, 120 logements construits sont habités dont les bien-nommées résidences Panoramiques, qui offrent des vues imprenables. D’autres tranches démarrent à l’automne 2014 : le « Clos Nature ». L’aménagement de cet écoquartier fait aussi l’objet d’une réflexion afin de proposer davantage de logements individuels à coûts maîtrisés pour répondre à une demande forte de familles désirant s’installer à Metz. À l’horizon 2030, près de 4 000 personnes pourraient y habiter, dans un cadre de vie exceptionnel.